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17/10/03

La Chine et le vol spatial habité.

Mercredi 15 Octobre 2003, la République Populaire de Chine réussissait le pari du vol spatial habité en lançant l'astronaute Yang Liwei à bord de sa capsule Shenzhou 5. Après 10 ans de croissance et de développements technologiques sans faille, le vol habité est un symbole conséquent pour le peuple chinois. La National Space Society France tient, ici, à présenter ses félicitations au peuple chinois pour cet exploit courageux. Cependant, au-delà de la symbolique évidente, à prendre en compte comme signification fondamentale, il s'agit de voir les implications et les conséquences d'une telle action.

Nous l'avons déjà fait remarquer, ici-même, l'Europe aurai pu faire de même. Mais, il ne s'agit pas de refaire l'histoire mais plutôt d'essayer d'en tirer des leçons pour nos prétendues ambitions. Outre que la Chine soit gouvernée par un régime autoritaire, notons avant tout, la volonté politique en amont du projet 921. L'Homme dans l'espace pour le gouvernement chinois est une affaire de politique intérieure et de représentation extérieur évidente. Depuis plus de 10 ans, le gouvernement chinois soutient une politique spatiale habitée en comprenant les dimensions politiques, diplomatiques, économiques, industrielles et scientifiques de tels programmes. Toutes les déclarations faites par ces gouvernements vont dans un sens positif pour le développement de l'homme dans l'espace. Le tout sera de concrétiser l'essai. Nous ne pouvons que nous associer à la déclaration de Brian Chase (NSS Executive Director) - ici - qui demande à ce que les autres nations s'inspirent de l'exemple chinois afin de pousser plus loin le défi.

Pourtant derrière l'aspect politique du vol du Shenzhou 5, se pose un problème économique majeur pour l'Europe. Est-elle capable, réellement, de relever le défi de l'Homme dans l'espace ? Encore pire : L'Europe spatiale comprend-elle les implications économiques et industrielles d'un tel projet ? En réalité, corrélativement au vol spatial habité de la Chine se pose le problème de la R&D en Europe et de son développement particulièrement dans le domaine spatial. Même si la Chine n'a pas fait un bond énorme en utilisant une configuration classique (''à la russe''), il n'en reste pas moins que l'effort de R&D effectué, donc industriel, donc économique, sera bénéfique, à sa mesure pour un pays qui semble avoir compris qu'investir dans la recherche est une composante fondamentale de sa croissance (il suffit de lire les articles économiques à propos de la Chine). L'Europe, à ce sujet commence à peine à se réveiller....

Nous nous voulons pourtant optimiste pour l'Europe spatiale et nous continuerons à lutter pour qu'un programme habité ambitieux soit adopté sur notre continent.

Le thème sera plus amplement détaillé dans la prochaine lettre.

Encore félicitations au peuple chinois. Europe, réveilles toi !

 

 
 
 
 
 
 
 
     
12/09/03

La NSS France s'associe à la Mars Society sur un sujet non-européen mais qui concerne et menace l'avenir des vols habités des Etats-Unis. Enfin des propositions constructives !

CONVERTIR LE SHUTTLE
Robert Zubrin

Il est maintenant devenu évident que la navette spatiale ne peut plus être utilisée longtemps comme système de transport pour les équipages sur l’orbite de la Terre. La tragédie de Columbia a montré clairement à quel point les navettes étaient devenues vieillottes et comment elles étaient dangereuses. Et même si la navette se montrait fiable, il est évident qu’utiliser un lanceur, ayant une poussée au décollage rivalisant avec la puissante Saturn V pour pouvoir transporter une demi douzaine de personnes vers la Station Spatiale, a autant de sens que de tracter des personnes qui font du jet ski sur un lac avec une avion gros-porteur. Le Shuttle a été dessiné et conçu comme une station spatiale à lui seul. En l’absence de station spatiale en orbite, ce genre de véhicule avait une justification. Mais l’établissement de l’ISS, l’idée d’utiliser un camping-car pour faire le taxi ne tient plus la route.

La NASA a déjà commencé à répondre à cette réalité en lançant le programme de l’OSP, qui va transformer les fonctions de transport habité d’une navet en une petite capsule ou un mini orbiter qui pourra être lancé d’une fusée Atlas ou Delta. L’idée aura plus de sens, par ailleurs, si l’on construit une petite capsule de qualité que si l’on bâtît une véritable mini navette. Une petite capsule sera bien plus facile à sécuriser qu’un système plus complexe. Cette capsule aura un coût de développement beaucoup plus bas et sera faite plus tôt, ce qui permettra de raccourcir les risques inhérents aux opérations à venir du Shuttle. Tiré à partir d’un lanceur non réutilisable et de moyenne portée, cela permet de lancer le même nombre d’Homme en toute sécurité pour 1/5 du coût d’un vol navette. Cette option est à soutenir.

Aussi rationnel que peut etre le programme OSP ou toutes visions du futur des programmes spatiaux américains, il pose, de toute façon, le problème et la menace de licencier des dizaines de milliers d’emplois liés au programme navette STS existant, et par conséquent aux grandes et petites entreprises de l’aérospatiale. C’est pour ces raisons que des personnes font du lobbying pour que l’OSP soit un programme type STS, qui prendrait des années à finir et dont le coût s’estimerait à 17 milliards de dollars.

C’est la mauvaise approche. Le raid que veulent monter ces personnes sur le Trésor américain va saper définitivement tous futurs financements d’autres initiatives spatiales. De plus, notons que le retard occasionné va exposer nos astronautes à des risques inavouables.

Pourtant, la bonne manière d’augmenter la vie de l’industrie autour du Shuttle n’est pas de repousser le remplacement de l’orbiter. Il faudrait plutôt employer l’approche d’une simple capsule pour accélérer nos capacités de transfert des Hommes en orbites basse rapidement et à bas coûts, et d’utiliser les fonds économisés pour développer et convertir les capacités du système de propulsion du Shuttle.

La raison de l’inefficacité du système STS et du Shuttle est précisément parce qu’il tracte cette masse inerte qu’est l’orbiter. Même si nous pensons que la navette est un fardeau, nous croyons que l’on peut remplacer le compartiment navette par un simple compartiment cargo. Nous obtenons alors la fameuse configuration dite Shuttle C qui pourrait envoyer 70 tonnes en orbite basse. Comparons, ici, la capacité de transport de fret de STS avec les 20 tonnes actuelles. Pourtant, nous pouvons faire mieux si nous insérons un étage supérieur, Hydrogène/Oxygène dans le compartiment du fret. Dans ce cas, nous obtenons la version Shuttle Z, déjà étudiée par la NASA et l’entreprise Martin Marietta à la fin des années 80s, capable de lancer 120 tonnes en orbite basse ou d’envoyer des charges utiles de 40 à 50 tonnes sur des trajectoires directes comme vers Mars ou la Lune.

Une telle capacité de lancement, digne du lanceur Saturn V, permettra d’être l’outil principal dans les besoins futurs pour les missions habitées ou l’exploration du système solaire. Cependant son développement ne peut etre justifié que si la NASA lance un tel programme. L’agence spatiale est en réalité face à un choix : soit embrasser la cause de l’exploration humaine maintenant, soit être forcé de financer à hauteur minimum de 10 milliards de dollars un futur lanceur si l’option de l’espace habité est remise à plus tard.

Si la NASA choisit la mauvaise option, et opte pour démanteler l’infrastructure du Shuttle, au lieu de la convertir, l’agence fera un choix irréversible en ce qui concerne l’exploration habitée du système solaire. Sous de telles conditions, le public posera d’inévitables et véritables questions concernant la justification de l’ISS, de l’OSP ou encore du vol habité en général. Le résultat sera une implosion générale de tout le programme habité. La NASA est dans une boite et le seul chemin possible est d’aller de l’avant.

On ne doit pas répondre à la catastrophe du Shuttle par la retraite mais en avançant toujours plus loin. Les vols humains dans l’espace ont toujours été hasardeux et risqués, mais nous devons aller là haut car c’est notre prochaine étape naturelle. Les missions à accomplir seront de plus en plus risquées. Nous n’avons pas besoin d’Etres Humains qui étudient une ferme de fourmis sous la gravité zéro. Nous voulons des Etres Humains explorant l’espace et les planètes. Convertir le Shuttle rendra cette volonté possible. Le docteur Robert Zubrin est président de la Mars Society (www.marsociety.org) et auteurs des livres Case for Mars : The plan to Settle the Red Planet et Why We Must publié chez Simon & Schuster.

 
     
11/09/03

Encore une fois, le pessimisme et le manque de vision politique ont frappés nos esprits.

Vous avez du tous lire l'article dans Le Monde (5 septembre 2003), intitulé '' le rêve spatial tourne en rond'' de Michel Alberganti et Stéphane Foucart. Nous apprécions toujours ce genre d'articles qui dénonçent le manque d'ambition des agences spatiales, et qui critiquent en général les missions en cours, pour ne proposer qu'une chose : Mars.

La National Space Society France pense qu'il est nécessaire de critiquer les programmes en cours ou à venir, mais autant le faire de manière constructive et en vue de proposer des solutions novatrices et surtout réalisables ! les acerbes critiques contre la NASA sont toujours les bienvenues dans un monde ou il est devenue normal de jeter le doute sur toutes les structures en place. douter de la NASA et des bactéries martiennes, douter des résultats scientifiques de la NASA, douter de la culture, voir du culte NASA pour le Shutlle est tout a fait louable si cette personne propose une solution. Car proposer Mars ne suffit pas pour réveiller notre esprit de conquete.

Nous citerons ici la dernière partie de l'avant dernier paragraphe que nous soutenons avec lequel nous sommes tout à fait d'accord hors du contexte de l'article: "En ces temps de fortes tensions internationales, remettre l'homme et ses rêves au centre des politiques spatiales permettrait pourtant de ressusciter l'idée d'une épopée partagée par l'ensemble de l'humanité. Il faudrait, pour cela, sans doute regarder vers Mars, avec la volonté et les moyens d'y envoyer des hommes". L'association s'associe donc à cette pensée plutot positive mais regrette que le titre de l'article soit aussi négatif. Nous pensons qu'il est de moins en moins utile de faire des articles dénonçant les dérives des politiques spatiales actuelles. proposer un projet politique serai bien plus constructif, il est necessaire, et nous ne cessons de le répeter, de batîr un projet sociétal pour une politique spatiale ambitieuse qui passe obligatoirement par une action politique et économique intérieure profonde. Il est inutile de demander à ce que l'ESA ou le CNES vous fournissent des politiques spatiales ambitieuses ''toutes faites'', ce n'est pas là leurs roles; Ce ne doient être que les catalyseurs ou les outils de cette volonté ! c'est à la politique française ou européenne de proposer une politique spatiale comme projet pour la Société. Incriminer la NASA ou l'ESA est dépassé, c'est aux hommes politiques à qui il faut demander des comptes en matière de spatial; ou alors expliquer la necessité d'une politique spatiale forte. L'Initiative Spatiale Européenne que nous rêvons tous, ne se réalisera que si les journalistes, les politiques, les hommes de cultures, les citoyens et toutes les autres composantes de notre Société ont compris les enjeux d'une politique spatiale ambitieuse et aux service de tous.

La National Space Society France est pret à débattre de vos avis.

 
     
08/09/03 Téléchargez la lettre N°5 ''Libre propos pour un espace habité '' en .pdf !!! Le download sera ouvert pendant 45 jours. ICI  
     
04/09/03
Version 1.2 des 15 propositions sur 5 ans pour une Initiative Spatiale Européenne - online. (Evolutions sur la seconde partie des propositions) - ICI
 
     
04/09/03

La Lettre N°5 ''Libre propos pour un espace habité'' est enfin online.

Son contenu : Harvest The Moon de Paul D. Spudis, D'Henri le Navigateur à l'ISE de Nicolas Turcat, Liftport Group et l'ascenseur spatial, Les perspectives offertes par la conquête spatiale (Introduction) de Phillipe Jamet, les actualités : L'OSP et la NSS américaine, morose Salon du Bourget 2003, compte rendu de l'International Mars Society Conference 2003, les actualités NSS France et les livres de l'été (Des Courtils et Baudry).

à retrouver ICI

Nouveauté : téléchargez en bas de la page de la lettre N°5, une version .pdf à imprimer.

 
     
02/09/03

La Lettre N°5 ''Libre propos pour un espace habité'' est partiellement online.

Cependant l'actualité et le texte sur l'ISE et Henri le Navigateur sont toujours en construction. Prévus pour le 04/09/03 - Les adhérents recevront la lettre mi-septembre.

 
     
31/08/03
La NSS et la NSS France demande à ce que la NASA embrasse les recommandations du CAIB ainsi que l’agence se dote enfin d’une Vision ambitieuse pour l’exploration spatiale.

Washington DC, le 26 août 2003, La National Space Society et son directeur exécutif Brian Chase a fait savoir la déclaration suivante après la publication du rapport final de la commission d’enquête pour l’accident de Columbia (CAIB) :
''La NSS demande à ce que la NASA embrasse les recommandations du CAIB et qu’elle travaille avec diligence, pour réformer profondément son processus décisionnel ainsi que ses organisations de sécurité afin que nous puissions faire retourner la flotte des navettes dans l’espace en tout sécurité.
Cependant, afin que la NASA puisse remplir pleinement les recommandations du CAIB et continuer l’exploration de l’espace, l’agence va devoir recevoir un financement adéquat pour faire ces taches. La Maison Blanche, le Congres américain doivent accepter de partager la responsabilité pour le futur des efforts de la nation américaine envers l’exploration spatiale et de pourvoir le poste de leadership pour la conquête spatiale.
Peut être plus important, la NASA et les responsables des Etats-Unis doivent saisir cette opportunité pour pousser plus loin le développement d’un nouveau type de système de transport spatial et renouveler le défi à long terme de l’exploration spatiale habitée. Nous sommes encouragé par le fait que le CAIB reconnaisse dans son rapport que : ’’les efforts spatiaux habités du futur doivent inclure une présence humaine sur l’orbite basse et éventuellement plus loin’’.
Nous sommes une nation d’explorateurs et une vision ambitieuse pour l’exploration spatiale sera accueillit avec succès par le public américain et nos partenaires internationaux. Aucune société n’a perdu en ouvrant une nouvelle frontière. Nous ne devons pas nous arrêter maintenant.''

 
     
30/08/03

La National Space Society France annonce dès aujourd'hui son intention de parrainer la prochaine Yuri's Night, le 12 avril 2004. Ne pouvant l'organiser pour des raisons logistiques, l'association lance un appel d'offre aux volontaires qui souhaiterait organiser la soirée. La NSS France s'engage à mettre en contact les personnes concernées (Loretta Hidalgo ou George Whitesides) et à activer son réseau de sympathisants. Le soutien de l'association est garanti. La prétendue troisième puissance spatiale mondiale se doit d'organiser sa soirée ! ...

contact NSS France : nicolasturcat@hotmail.com

 
     
 
 
     
29/08/03

Suite à une rupture du serveur de la NSS France (orages du 28/08/03), la Lettre N°5 ''Libre Propos pour un Espace Habité'' est retardée au mardi 2 septembre au matin...

Alors patience ... Le temps que l'on reboot tout, et ça repart ...

 
     
26/08/03

Vous pouvez maintenant télécharger le document Acrobat Reader de la présentation Powerpoint 97, en anglais, à propos de l' European Space Initiative : From Henry the Navigator to ESI -(Attention le document fait 9 Mo !) - ICI

Légérement différents et Zipé en Word, les transparents pour un rétro-projecteur sur le même sujet : ICI

 
     
11/08/03

la NSS France présente à la Mars Society Convention (Eugene, Colorado) un papier à propos de l'European Space Initiative le jeudi 14 aout 2003 à l'Hilton (1.30pm) d'Eugene.

Le sujet de l'exposé sera de répondre briévement à deux questions : Pourquoi l'espace ? Et comment faire pour initier un projet digne d'une spacefaring civilizations ainsi que peuvent proposer les européens? Le papier reprendra, dans une seconde partie, l'ISE que vous connaisez tous, afin de présenter les propositions que nous pouvons faire vis à vis de Mars. Originalité, en première partie sera présentée un exemple de création de potentiels d'activité avec Henry le Navigateur (1394-1460), prince portugais qui lança les premières découvertes le longs des côtes africaines.

Infos : ici

 
     
10/08/03

A propos du Nouvel Obs' N°2021.

Vous avez du tous remarquer le racoleur dossier sur Mars intitulé ''On va marcher sur Mars'' du Nouvel Obs', fin Juillet. Outre l'article de Michel de Pracontal, qui ne nous apprend rien de nouveau et qui propose un mission-type vers Mars en rêve, l'article de Fabien Gruhier ''A la recherche de la fusée martienne'' mérite que l'on s'y attarde. En effet l'auteur récidive (cf son article sur l'ISS ou la navette en février) dans son pessimisme outrageant. Il parle de fièvre enthousiaste du progrès à l'ancienne en parlant des années soixante, ou encore de la fusée atomique de Tintin et Tournesol, personne ne saurait comment s'y prendre, ou encore de Tchernobyl volant... M. Gruhier reste un éternel pessimiste qui ne semble pas avoir compris la necessité et l'impératif politique de tout programme spatial habité à grande envergure. La dimension scientifique et uniquement celle ci ne justifie aucun effort pour bâtir une spacefaring civilization. La Science doit être une conséquence de la conquête des étoiles mais en aucun cas un moteur pour celle-ci. Fabien Gruhier pensait déjà que l'ISS était un morne manège orbital, et s'est toujours défendu d'être un défenseur de la Science. Il oublie tout simplement la dimension sociétale et politique des projets spatiaux. Mars ou la Lune sont des projets ambitieux qui pourrait relancer la machine économique, ou tout du moins ouvrir une nouvelle sphère économique aux nations qui s'engageraient sur cette route. Créer un potentiel d'activités (qui fournira, par ailleurs, des retombées énormes pour la Science) est avant tout un choix politique. L'option spatiale n'est pas juste un rêve. C'est une option pour une Société à la croisée des chemins.

 

 
     
25/07/03

Comme je vous l'ai déjà annonçé sur le site internet depuis 10 jours, la lettre ''libre propos pour un espace habité'' N°5 sortira, exceptionnellement, fin aout 2003. En effet, suite aux vacances, et à un planning personnel chargé, la lettre sortira avec un mois de retard. De plus nous pourrons ajouter certains articles pour vous faire une lettre N°5 vraiment conséquente...

Je pars début aout en Californie pour assister à la Mars Society Convention 2003, se tenant à Eugene dans l'Oregon. Je ferai là bas une présentation de l'Initiative Spatiale Européenne afin de montrer qu'elle n'est pas incompatible avec des projets américains comme ceux de la Mars Society de Robert Zubrin.

La lettre N° 5 sera composée d'un article traduit (Astronomy / June 2003) de Paul D. Spudis intitulé ''Harvest The Moon'', d'un article du journaliste freelance Philippe Jamet ''les perspectives offertes par la conquete de l'espace'', d'une version abrégée de la présentation à la Mars Society Convention 2003, des news (White paper, un point sur l'OSP et la NSS américaine, la NSS France et Le Bourget 2003, nos travaux vis à vis des politiques...), ainsi qu' une revue des livres sortis cet été.

Je tiens à faire remarquer que la lettre N°6 pourra ainsi sortir après le congres IAF de Breme, ou nous irons, bien entendu.

 
     
15/07/03

Exceptionnellement, la lettre de l'association N°5, normalement prévue pour les mois d'aout-septembre, sera reportée d'un mois.

Le libre propos pour un espace habité sortira donc fin août-début septembre. Je vous ferai pourtant parvenir par internet (et disponible sur le site) différentes news (le Bourget 2003 ou le Green Paper clos).

 
     
06/07/03

Géraud des Courtils, un de nos membres, vient de sortir un livre :

A la découverte de la lune (éd. Flammarion) - pour le commander sur fnac.com

Géraud des Courtils est ingénieur sur le site d'Ariane Espace à Kourou. Il participe à tous les lancements de fusées et publie A la découverte de la lune, le guide du tourisme sur la lune.

Exemple de commentaires de fnac.com (Je n'en penses pas moins): Ce guide est incroyable: c'est un vrai guide bleu de la Lune. C'est conçu comme un guide de voyage et c'est une mine d'informations pratiques. Il y a des dizaines d'itinéraires commentés avec des vues superbes (3D) des plus beaux lieux du terrain lunaire. En le refermant on a vraiment l'impression d'avoir été là bas. Superbe idée !

 
     
06/06/03

Nous sommes en train de préparer un mailling de masse à propos de l'ISE aux partis politiques et groupes parlementaires, si vous avez des idées à nous soumettre ou si vous voulez nous aider :

c'est MAINTENANT !!

 
     
05/06/03

Retrouvez Online nos propositions concrètes à court terme pour l'ISE, intitulées :

15 propositions sur 5 ans pour une Initiative Spatiale Européenne.

se composant de deux axes de travail principaux : Un accès habité à l’Espace avant la fin d’un quinquennat et une préparation en parallèle, pour l’avenir à moyen terme de l’Initiative Spatiale Européenne.

 
     
04/06/03

la Lettre N°4 - Juin 2003 :

Propositions pour une Initiative Spatiale Européenne (ISE).

Actualités : Compte rendu de l'ISDC 2003, la Chine et le vol spatial habité, du Green Paper au 27 mai 2003. ICI

 
     
 
 
     
26/05/03

La National Space Society France sur le Wap !!! Retrouvez notre site, dasn une version allégée, sur votre téléphone portable (via le Wap ou encore mieux en GPRS !)

l'adressse à taper sur votre téléphone, une fois connecté, est la suivante : http://siteswap.orange.fr/nssfrance

Retrouvez très bientot dans la pages des news, cette fois ci sur internet, le compte rendu de l'ISDC - International Space Devellopment Conference 2003.

 
     
15/05/03

Retrouvez nous le Dimanche 17 Mai 2003 au Musée de l'Air et de l'Espace du Bourget à 15 heures pour la conférence ''l'épopée des stations spatiales"

Enfin, sachez que je pars le Jeudi 22 Mai 2003 à San José en Californie dans le cadre de la réunion annuel des chapitres NSS : ''International Space Devellopment Conference'' (se déroulant à l'Hyatt de San Jose du 23 Mai au 25 Mai) ... si vous avez des questions, n'hesitez pas !

 
 

 

 

 
01/05/03

Grandes phrases et politique spatiale !

La National Space Society France se réjouit des flambantes annonces faites à propos de l'espace français et européen qui émaillèrent la mi-avril. Elles furent rapportées dans de nombreuses dépêches ou articles, citons en quelqu'une : celle de l'AFP du 15 avril, avec ''la France défend un accès autonome à l'espace'' et ''l'espace doit devenir une compétence européenne pour que le secteur spatial sorte de la crise'' selon la ministre Claudie Haigneré. Ou encore, ces déclarations attribuées au Président de la République : l'espace, ''un rôle moteur pour l'Europe'', ''la maîtrise de l'espace est un enjeu stratégique''. Madame la ministre de la Recherche parle ''d'ambition européenne'', ''l'Europe doit passer à une autre étape'', ''l'esprit de solidarité vis-à-vis de l'espace pour les partenaires européens'', ''un nouvel élan financier, institutionnel et structurel'', de ''préparer un scénario de sortie de crise''. Notons aussi dans la Tribune du 16 Avril, qui titrait '' Paris appelle à rebâtir l'Europe spatiale''. Enfin l'hebdomadaire Air et Cosmos du 18 Avril : avec ''la naissance du conseil de l'Espace'' rend compte des mouvements qui agissent le microcosme spatial depuis la crise au CNES et évoque les résultats du premier conseil restreint sur l'Espace à Matignon le 8 avril.

Rappelons que ces difficultés à l'agence française interviennent au moment ou l'on atteint les limites de l'instant d'une politique construite sur l'acquisition d'un marché fondé sur des applications étroites, à court terme et soumises à une concurrence effrénée ; l'ensemble étant astreint à l'environnement d'une conception économique européenne se résumant à la lutte contre les déficits. En conséquence cette idée d'un conseil de l'espace placée au plus haut niveau de l'Etat (un peu à l'image du National Space Council américain des années soixante) pourrait être une bonne structure pour sortir de l'ornière, a autorisant une unité de commandement pour une ambitieuse politique spatiale.

Mais pour l'instant, concrétement qu'y a-t-il derrière toutes ces belles phrases ? Hélas encore une simple adaptation à des contraintes imposées par un système économico politique incapable d'imaginer un futur. Comment peut-on penser qu'un système satellitaire Internet, une adaptation de l'outil industriel, une optimisation et une réorganisation du secteur de la recherche spatiale, la redite (on le sait depuis 1972) de l'impérative nécessité de l'accès autonome à l'espace, la modification de l'actionnariat à Arianespace, l'accentuation de l'institutionnel sur le commercial, l'ajustage des lancements des lancements afin de minimiser les coûts globaux, la coopération avec la Russie, la participation russe au programme FLPP (Futur Launcher Preparatory Program), une conférence européenne peut être en 2005 ! Créent un programme spatial dynamique ?

Peut être avez-vous remarqué : l'espace habité n'existe pas ! Il est expédié au niveau des relations ESA/ Union Européenne/ ISS ! Si cela en reste là, européens dormez sur vos deux oreilles, ce n'est pas demain que vos enfants s'enthousiasmeront pour de grandes choses, ou que l'on créera de nouveaux jobs intéressants et rémunérateurs. Avec un ''institutionnel'' ouvert au triptyque : militaire classique, sécurité, justice vaguement calqué sur ce qui se fait Outre-atlantique, avec l'acceptation de concepts économiques irréels, avec des choix de politique spatiale sans risques et strictement corporatistes, il est impossible de créer, d'innover et de construire un avenir attirant pour la jeunesse européenne. Seul un autre triptyque peut nous éloigné de l'entropie actuelle, constitué par un programme spatial humain ambitieux, doublé d'un programme d'infrastructure planétaires pour le bien être de tous, soutenus par une politique économique adéquates.

 
     
02/04/03
La lettre N°3 - Avril 2003 est arrivée ! L'actualité : Marie et les médias, le nucléaire spatial, la reprise des vols navettes et l'ascenseur spatial / L'article : Polémiques européennes... ici
 
 
 
21/03/03

Retrouvez nous le 9 Mars 2003 au Musée de l'Air et de l'Espace au Bourget à 15 heures, nous sommes en effet partenaire du Musée pour l'organisation de conférences au cours de l'année 2003. Ce dimanche, le thème : Les cosmonautes chinois.

Le 23 mars 2003, au Musée de l'Air et de l'Espace toujours, à 15 heures, Les anecdotes de l'histoire de l'Espace par Jacques Villain.

 
     
24/02/03

La Lettre N° 2 ter vient de paraître dans sa version ''online'' retrouvez la : ici
Retrouvez ainsi notre reaction face à la démission de M. Bensoussan, ex-président du CNES ainsi que nos réponses face à la curée des médias et STS-107.

 
 
 
20/02/03
Le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales) vient de se voir nommer à sa tête M. Yannick D'Escatha (issu du CEA ou d'EDF plus récemment). Souhaitons lui nos meilleurs voeux.
 
 
 
09/02/03
A noter : le site de Capcomespace.net, qui met en ligne de manière précise et en français toutes les dernières analyses et éléments, sans parti pris, à propos de STS-107 et Columbia.
 
 
 
07/02/03

Retrouvez la lettre N°2 bis - Spécial STS-107, Columbia. ICI
Bientôt nos réactions et réponses aux critiques des programmes spatiaux habités.

 
 
 
04/02/03
Il existe une NSS Allemagne (DRG-German Space Society), allez faire un tour sur leur site ! Ici
 
 
 
02/02/03
Brian Chase, Executive Director de la NSS, sur C-Span
 
 

Brian Chase, Executive Director de la NSS, a été interviewé sur la chaine nationale US C-Span dans le Washington's Journal du Dimanche 2 Février 2003, à propos de STS-107 pendant un peu moins d'une heure : Cliquer (realplayer requis) : Ici

 
 
 
01/02/03
Columbia, STS-107.
 
 
 
 

C'est avec une grande tristesse, que nous avons appris l'accident de la navette Columbia ( mission STS-107), le 1er février 2003, lors de son retour vers le Kennedy Space Center en Floride. Toute l'équipe de la NSS France et tous ses sympathisants se joignent pour présenter leurs condoléances aux parents et aux proches de ces 7 astronautes.
Dans l'immédiat, il est impératif d'attendre les conclusions des experts et des commissions d'enquêtes avant de prononcer quelques opinions. Cependant, immanquablement, comme pour l'accident d'Apollo 1 en 1967 ou de Challenger en 1986, le programme de vol habité sera considérablement ralenti. La station toujours en construction, est loin d'être opérationnelle pour l'ensemble des activités scientifiques prévues mais le ravitaillement arrivera et les 3 occupants sont assurés d'un véhicule de sauvetage. Pour les mises en orbite et retours habités, les seuls vaisseaux restants, capables de transporter des êtres humains sont les Soyouz russes, avec les problèmes qui leur sont liés.
Mais l'enjeu le plus difficile à gagner sera celui de la poursuite du vol spatial habité, de l'Homme dans l'Espace pour y vivre et y travailler. Cette hypothèse pour le futur va être attaquées de toutes parts. Les spécialistes, les conseillers, ou les devins vont produire leurs analyses, toutes plus destructrices, les unes que les autres. Pourtant l'Histoire de l'humanité est jonchés de ces douloureuses tragédies et jusqu'à récemment, cette dernière n'a jamais renoncé à aller de l'avant dans l'espoir de s'ouvrir un avenir ainsi qu'un formidable potentiel d'activité.
Ces 7 astronautes perdirent leur vie pour cet idéal de l'espace humain auquel elles croyaient très fort. L'accident qui leur coûta si cher doit être élucidé afin de continuer à relever ce défi porteur de grands espoirs.
Ici, en Europe, la poursuite de cette aventure humaine est loin d'être acquise, nous devons renforcer notre détermination et nous activer dans cette grande entreprise qui en vaut vraiment le prix.

 
 
 
29/01/2003
Ariane V, Apollo, M. Bonnet, et l'ambiance économique actuelle ...
 
 
En réaction à une dépêche AFP du 17 janvier 2003, Maurice bonnet dans cette dépêche, suite aux problèmes d'Ariane V, nos écrits : ''… nous devons avoir l'esprit concentré, nous devons avoir des équipes travaillant dans l'esprit d'Apollo, cela exigera une réorganisation. Chacun a à sortir de sa mentalité étriquée …''
Bien écrit, mais pourquoi faire ?
Pour lancer quatre satellites de télécoms par an et deux sondes scientifiques ? Pour des projets qui ne seront jamais financé ? Pour un pouvoir politique qui n'a pas ou ne veut pas s'exprimer sur une vision d'avenir. Pour une agence européenne et une agence nationale dont les prochaines années sont incertaines ? Pour une qui dans l'ambiance économique actuelle cache bien souvent, le downsizing ou le sous traitement ?
Retrouver la vision d'Apollo, ou cela serait possible mais avec une vision exprimée, pour un défi à la hauteur de l'Europe dans des structures capables de le relever et dans une population eanthousiasme pour ce projet. Nous en sommes encore loin.
 
 
 
28/01/2003
Discours de l'Union
 
 
Certains espéraient dans le discours de l'Etat de l'Union présenté au Congrès par le président américain George W. Bush le 28 Janvier 2002, une heureuse nouvelle pour l'Espace habité, Hélas rien du tout, seulement un discours banal.
 
 
 
26/01/2003
La dernière lettre de la NSS France Online
 
 
La lettre ’N°2 Libre propos sur l’espace habité’de février 2003 de NSS France est arrivée.
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20/01/2003
L'association NSS France lance sa campagne de communication auprès des médias, grands organismes, ou politiques...
 
 
Le communiqué de presse en téléchargement
 
 
 
 
19/01/2003
La reaction de la NSS France face au rapport de la commission pour la politique spatiale européenne :
 
 

La situation actuelle du CNES me fait réagir, en temps que citoyen et président de l’association National Space Society France, je me dois de vous faire part de quelques réflexions. Le but de la National Space Society est de proposer et de soutenir la possibilité de programmes spatiaux humains ambitieux dans le monde et dans le cas de la NSS France: en Europe. L'objectif étant d'arriver dans le futur à une civilisation ou l'expansion de l'humanité dans l'espace soit une composante majeure du développement économique et d'un renouveau culturel. Etant étudiant en Maîtrise d’Histoire contemporaine à la Sorbonne et citoyen, l'avenir me concerne, et cette option spatiale pour l'Homme n'est pas à dédaigner. Le CNES traverse une crise grave, tous s’accordent à le dire et la pérennité de l’organisme est mise en cause. Sous l’égide de M. Bonnet, vous allez recevoir bientôt le rapport de la "Commission de Réflexion" du 12 novembre 2002, que vous avez commandé sur l’état du Centre, or celui-ci a déjà connu de telles situations en 1970 ou 1976. Mais aujourd’hui avec l'épuisement prévisible du marché limité des télécommunications, la faiblesse de celui de l'observation, la légèreté avec laquelle il fut déclaré que la microgravité était sans intérêt, l'incapacité à projeter une vision cohérente sur le vol habité et l'obstination à vouloir tout gérer à l'aune d'une doctrine financière inadaptée à nos sociétés modernes, alors oui, avec ces hypothèses et contraintes l’utilité du CNES est remise en question.

Cependant, la NSS France soutient l’utilité du CNES et particulièrement l’importance d’une agence spatiale nationale qui a tellement fait pour la politique spatiale européenne. Je tiens juste à vous rappeler le rôle moteur de la France et du CNES dans la construction du programme Ariane depuis 1972. L’Europe entière, bénéficie désormais pleinement de ce lanceur. Sur le site Internet du CNES nous pouvons y lire ceci : « Par sa maîtrise des techniques spatiales, le CNES a su développer les outils permettant à l'Europe d'accéder de façon autonome à l'espace ». Le CNES est une composante puissante et fondamentale de la politique spatiale européenne.

Nous considérons que le transfert de la majorité des compétences du CNES à l'ESA est inadéquat, alors que le régime politique qui mènera l'Europe n’est pas défini. Il est en effet nécessaire de conserver un levier de commande efficace (politiquement réactif, scientifique et technique) qui permette d'agir, comme l'affaire Europa Ariane l'a démontrée. Rien n'empêche de participer aux programmes de l'Agence Spatiale Européenne tout en conservant au niveau national une structure, qui bien dirigée, fit ses preuves. En résumé ce qui fait défaut à l'Europe et à la France est une véritable dynamique porteuse d'un avenir et d'espoir pour tous. Mais pour cela ceux qui prétendent diriger doivent sortir d'une logique financière suicidaire, d'un alignement sur des tendances ou des modes et d'une politique se résumant à des consensus alimentés par des sondages. Un programme spatial habité ambitieux, une amélioration de nos infrastructures concernant le quotidien, accompagnés d'une véritable politique de développement envers ceux qui manquent de tout seraient capables d'ouvrir une ère d'espoir. Et pour cela le CNES est une bonne structure capable de soutenir l'ESA pour démarrer cette ambition spatiale et contrairement à ce que beaucoup pense l'argent existe. La résolution du problème ne passe que par l'utilisation des qualités humaine: vision, imagination, philosophie, volonté et création.

 
 
 
 
15/01/2003
Prochain réunion de la NSS France
 
 
Le bureau NSS France se retrouve tous les 15 jours pour partager ses idées ou en trouver de nouvelles, la prochaine réunion aura lieu à :
La Pizza Grill Bistrot Dei Fratelli face à l'ENSTA, 29/31 bd victor dans le 15ème arrondissement, métro Porte de Versailles le Mardi 21 Janvier à 13 heures.
Vous etes les bienvenus
 
 
 
 
07/01/2003
L'aventure Ariane
 
 
Le 12 janvier 2003, à l'occasion du colloque "L'aventure Ariane" au Musée de l'Air et de l'Espace au Bourget, la NSS France aura un espace réservé. L'association NSS France est désormais partenaire amical du Musée de l'air et de l'Espace. Retrouvez-nous ce dimanche.
 
 
 
 
07/01/2003
Les voeux du Président
 
 
Une nouvelle année commence, et l’association NSS France commence à peine sa marche, ainsi espérons une année remplie de bonnes résolutions pour l’Espace habité que nous défendons. Nous avons eu le plaisir de recevoir vos adhésions pendant les fêtes de fin d’années, et nous vous remercions de la confiance que vous nous faites. Vous êtes désormais adhérent à l’association NSS France pour l’année 2003 à compter du 1er janvier 2003.

Nous tenons aussi à vous rappeler que vous pouvez rentrer en contact avec nous pour quelques raisons que ce soit. En réalité, nous vous y invitons fortement afin de pouvoir partager nos expériences et idées. Ainsi, nous vous envoyons la Lettre N°1 de la NSS France datant de fin novembre dite ‘’ libre propos pour un Espace habité’’ ainsi que d’autres papiers liés à l’association. Nous avons rédigé cette lettre, seuls, mais la seconde à sortir (fin janvier, début février), peut voir paraître une de vos contributions. N’hésitez pas à nous envoyer des textes (une page A4) sur le thème de l’espace habité que cela soit vos idées, vos projets, vos réactions à des articles parus, etc...

Nous restons donc attentifs à vos contributions intellectuelles, et nous ferons un plaisir de vous répondre.

Bonne année 2003

Le Président de la NSS France

 
 
 
 
29/11/2002
Adhésion gratuite !
L'adhésion est gratuite pour un an a tous les membres français déjà inscrits à la NSS US (et recevant donc Ad Astra, ainsi que toutes les prestations américaines). Enfin ils recevront la déclaration d'ouverture ainsi que le numéro un de Novembre 2002 gratuitement. Nous les encourageons vivement à nous contacter !
28/11/2002
La lettre de la NSS France Online
Mise en ligne de la Lettre de la NSS France, retrouvez :
 
  • Le congrès mondial d'astronautique, un bilan critique.
  • Une présentation de la NSS américaine.
  • Une brève étude comparative entre les coûts de l'ISS et le reste du monde …financier !
 
28/11/2002
NSS France Online
Ouverture du site nssfrance.fr.st depuis le 28 novembre 2002. Mettez le dans vos favoris !
 
 
 
13/11/2002
Association déclarée selon la loi de 1901
 
 
Ouverture du chapitre français de la National Space Society, sous le nom de NSS France le 13 Novembre 2002
 
   
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